Edito du 26 mai


Message du 30 mai : mise à jour de l’édito dans la soirée…


Tourmenté…


Message

Merci à tous pour vos messages sympathiques… Je ne sais toujours pas dans combien de temps ma cheville sera à nouveau opérationnelle !! Wait and see !
Actuellement, la galerie d’images est indisponible…


Citation…

« Le matin, c’est la jeunesse du jour. Tout y est gai, frais et facile. Il ne faut pas l’abréger en se levant tard. » (Arthur Schopenhauer)


Gre in Live…

Observation du temps :
hier, dimanche 25 mai : Protégé ! C’est exactement ça… nous étions sacrément protégés des pluies puisqu’il pleuvait un peu partout en France (surtout sur le Sud de la France). Pour autant, la journée est restée grise et un peu fraiche…
aujourd’hui, lundi 26 mai: Quel réveil ! Entre les pluies abondantes et les rafales de vent, il fallait être motivé pour sortir du lit ce matin ! La protection n’a donc pas résisté longtemps puisque c’est vers minuit que les premières fortes précipitations sont arrivées sur Grenoble. Ce n’est qu’en milieu de matinée que les pluies se sont arrêtées. Ensuite, le programme du ciel était soleil, averses et orages…
demain, mardi 27 mai : Petit coup de chaud à prévoir et le tout au sec…

Photo du jour : lundi soir : belle formation au-dessus de Belledonne
lundi soir : formation probable de mammatus…
lundi soir : le dernier au soleil !
lundi après midi : averses sur Belledonne…
lundi après midi : Le Mont Rachais et la Bastille fument !
jeudi après midi : quelques cirrus au-dessus de Belledonne
jeudi soir : coucher de soleil
jeudi soir : coucher de soleil


Sortie du jour…

Cette rubrique est malheureusement en panne technique (voir édito du 20 mai) !!


L’info du jour…

Environnement et pétrole: sommet des cinq puissances arctiques au Groenland
COPENHAGUE – Les cinq pays riverains de l’Arctique se réunissent mercredi au Groenland pour discuter des défis posés par le changement climatique et des problèmes de délimitation des frontières de cette région qui renfermerait d’importantes richesses en hydrocarbures.
Face aux revendications des Russes, Américains, Canadiens et Norvégiens sur l’Arctique, le Danemark a invité les ministres des Affaires étrangères de ces pays à Ilulissat, à l’ouest du Groenland, son territoire d’outre-mer.
« Nous devons régler nos problèmes pacifiquement, et par des accords conformes aux lois internationales », a affirmé le chef de la diplomatie danoise, Per Stig Moeller, à l’initiative de cette réunion avec le dirigeant du gouvernement local groenlandais Hans Enoksen.
La secrétaire d’Etat américaine Condoleezza Rice, qui doit participer à une conférence sur l’Irak à Stockholm, a laissé au numéro deux du département d’Etat John Negroponte le soin de diriger la délégation américaine.
Le Canada sera représenté par son ministre des ressources naturelles Gary Lunn, la Russie (Sergueï Lavrov), la Norvège (Jonas Gahr Stoere) et le Danemark par leurs chefs de la diplomatie.
Dans la course aux richesses potentielles de l’Arctique, qui s’accélère avec la fonte des glaces, ouvrant de nouvelles voies maritimes et facilitant les explorations pétrolières, les pays riverains tentent de prendre leur part du gateau.
L’Arctique est devenu une source de conflits entre les pays riverains et les provocations se sont multipliées des derniers temps, a déploré le ministre danois.
Le Canada et le Danemark se disputent la souveraineté de l’île Hans tandis que Canadiens et Américains s’opposent sur la question du passage du Nord-Ouest, reliant l’Atlantique au Pacifique.
L’été dernier, des explorateurs russes avaient planté un drapeau au fond de l’océan, à plus de 4.000 mètres de profondeur, au terme d’une expédition symbolisant les velléités territoriales de Moscou sur l’Arctique.
« L’Afrique du Sud peut aussi planter son drapeau si elle veut. Cela n’y changera rien », a ironisé le chef de la diplomatie danoise, soulignant la nécessité de « respecter les accords internationaux existants ».
Le ministre danois ne s’attend toutefois pas à une clarification au sein de l’ONU avant 2020.
Le droit international prévoit une zone de souveraineté de 200 milles nautiques autour des côtes des pays riverains de l’Arctique.
Il reste un territoire de 1,2 million de kilomètres carrés sujet à toutes les convoitises, car censé contenir dans son sous-sol un quart des réserves de pétrole et de gaz encore inexploitées dans le monde, selon l’organisme américain US Geological Survey.
En vertu de la Convention de l’ONU sur le droit de la mer, ratifiée par les pays riverains de l’Arctique à l’exception des Etats-Unis, chaque Etat peut faire valoir ses revendications jusqu’à dix ans après l’avoir ratifiée s’il présente des preuves scientifiques justifiant l’extension de son plateau continental.
Le réchauffement climatique a intensifié la nécessité d’un réglement international. En effet, la fonte des glaces dans l’Arctique est « beaucoup plus rapide » que prévu et s’approche du « point de non retour », selon une étude publiée le mois dernier par le Fonds mondial pour la nature (WWF).
La calotte glacière du Groenland, dont le volume actuel est estimé à 2,9 millions de mètres cubes, et les glaces de l’Océan Arctique, évaluées à 4,4 millions de mètres cubes en septembre 2007, sont à leurs plus faibles niveaux, selon le WWF.
La sécurité maritime et la protection d’un environnement fragile dans l’Arctique seront également au menu des discussions entre les 5.
Source : ©AFP / 25 mai 2008 16h48