Après la neige la douceur ?
Message…
J’ai pris du retard avec la mise en ligne du nouveau Grelibre.net… Il faut dire que les conditions pour la photo sont optimales !!
Citation…
« Quand je skie, je reste tout le temps en alerte. J’essaie de ne pas me laisser endormir par la beauté du paysage. »(Dominique Perret)
Gre in Live…
Observation du temps :
hier, mercredi 26 mars : La journée fut plutôt belle même si les voiles de nuages ont été un peu envahissant dans l’après midi. Après les faibles gelées (plus fortes en altitude), les températures sont largement remontées si bien que les arbres couverts de neige le matin sont redevenus tout vert !
aujourd’hui, 27 mars : Journée sèche et assez ensoleillé en vallée. En montagne, les faibles chutes de neige de la nuit et matinée ont laissé place à un temps plutôt nuageux. Les température s’adoucissent avec 11°C de maxi sur Grenoble.
demain, vendredi 28 mars : Une belle journée en perspective avant l’arrivée d’une faible perturbation pour la nuit…
Photo du jour : Le Roc d’Arguille (Chartreuse) mercredi matin
Les dernières sorties…
Petite sortie ce mercredi matin pour profiter de cette belle couche de neige fraiche tombée pendant tout ce long week end de Pâques. La Chartreuse est réputée pour être humide et donc recevoir le plus de précipitation lors d’une perturbation. Et bien l’hiver, c’est pareil sauf que la pluie se transforme en neige ! Il est difficile de savoir exactement la hauteur du manteau neigeux d’autant plus qu’il se tasse rapidement vu la saison. Il est probablement tombé plus d’un mètre de neige à 1800m pendant ces 3 jours et la couche de neige atteignait encore au moins 70cm de poudreuse ce mercredi matin. La rando en raquette ou en ski fut très épuisante puisqu’il a fallu faire les traces… A chaque pas, nous nous enfoncions à mi-cuisse alors que nous étions chaussés de raquettes !! En ski de rando, Yannick a dégusté tout autant ! Allez place aux photos :
la lune se couche derrière le Bec Charvet
Le vent souffle en altitude…
Le soleil se lève sur Chamechaude
sur la crête du Mont Pravouta
Quelques nuages sur le Taillefer
Je n’avais jamais remarqué ces trous sur la crête du Mont Pravouta. Il semble qu’un courant d’air sort d’un tout petit trou et ne permet pas à la neige de tenir au sol !
fenêtre sur Chamechaude
sans les volets de la fenêtre !
fenêtre sur Chamechaude
la montée sur la crête
la crête qui redescend vers le Roc d’Arguille est envahi de congères de taille respectable !
le Saut de congère de Fred devant le grand Som !
Petit hameau autour de Saint Hugues…
contemplation
en redescendant
en redescendant
Yannick ira plus vite que nous !
la descente est plus rapide que la montée… la trace est faite !
Même si l’image fait sourire, on peut les remercier de dégager la route jusqu’au col du Coq… Sans ça, il serait difficile d’accéder sur ces superbes belvédères de la Chartreuse !
L’info du jour…
Sauvetage spectaculaire de cinq randonneurs français dans les Alpes suisses
Alors que le mauvais temps faisait rage, cinq randonneurs à ski français ont dû passer la nuit de samedi à dimanche sur un glacier de la région de la Bernina (Grisons), dans les Alpes suisses, avant d’être secourus, ont annoncé lundi les autorités helvétiques.
Un membre du groupe, une femme de 50 ans, avait fait une chute dans une crevasse samedi soir. Ses compagnons ont toutefois pu la sortir par leurs propres moyens.
Après avoir sorti la femme, les randonneurs ont donné l’alerte avec leur téléphone portable, a expliqué lundi Gery Baumann, porte-parole de la Rega, le service de secours suisse.
L’alerte, donnée au village italien de Sondrio, a été transmise à la police cantonale des Grisons puis à la Rega.Les hélicoptères n’ont pu se rendre sur les lieux à cause des mauvaises conditions atmosphériques. Une première tentative a échoué, obligeant les cinq randonneurs à passer la nuit sur le glacier.Dimanche matin, comme les hélicoptères étaient cloués au sol, le chef des secours a décidé de se rendre sur les lieux avec des guides de la région. Ils sont partis de la station de Diavolezza et ont pu rejoindre les randonneurs bloqués.
Les guides et les randonneurs ont alors commencé une longue descente. Un hélicoptère des secours italiens a tenté de les rejoindre, mais il a dû renoncer. Peu avant 22h, dimanche, c’est un appareil de la Rega qui a pu se poser et repartir avec la femme et un autre membre du groupe.
Peu après, le temps s’est à nouveau dégradé et le reste du groupe a dû descendre avec la colonne de secours. Ils sont arrivés en lieu sûr le lundi de Pâques à 2h du matin. Sans les guides de la région, le sauvetage aurait été impossible dans cette zone très crevassée et très accidentée, a observé Gery Baumann. AP
Source : http://www.latribune.fr/
Un membre du groupe, une femme de 50 ans, avait fait une chute dans une crevasse samedi soir. Ses compagnons ont toutefois pu la sortir par leurs propres moyens.
Après avoir sorti la femme, les randonneurs ont donné l’alerte avec leur téléphone portable, a expliqué lundi Gery Baumann, porte-parole de la Rega, le service de secours suisse.
L’alerte, donnée au village italien de Sondrio, a été transmise à la police cantonale des Grisons puis à la Rega.Les hélicoptères n’ont pu se rendre sur les lieux à cause des mauvaises conditions atmosphériques. Une première tentative a échoué, obligeant les cinq randonneurs à passer la nuit sur le glacier.Dimanche matin, comme les hélicoptères étaient cloués au sol, le chef des secours a décidé de se rendre sur les lieux avec des guides de la région. Ils sont partis de la station de Diavolezza et ont pu rejoindre les randonneurs bloqués.
Les guides et les randonneurs ont alors commencé une longue descente. Un hélicoptère des secours italiens a tenté de les rejoindre, mais il a dû renoncer. Peu avant 22h, dimanche, c’est un appareil de la Rega qui a pu se poser et repartir avec la femme et un autre membre du groupe.
Peu après, le temps s’est à nouveau dégradé et le reste du groupe a dû descendre avec la colonne de secours. Ils sont arrivés en lieu sûr le lundi de Pâques à 2h du matin. Sans les guides de la région, le sauvetage aurait été impossible dans cette zone très crevassée et très accidentée, a observé Gery Baumann. AP
Source : http://www.latribune.fr/